Pas de plaidoiries ni de réquisitions au procès de l’opposant André Okombi Salissa qui a débuté depuis le 17 janvier. Pour cause, les débats ont été bloqués lors de l’audience du vendredi 1er mars au sujet des écoutes téléphoniques de ce candidat malheureux à la présidentielle de 2016 accusé principalement d’atteinte à la sécurité intérieure de l’État. Ses avocats refusent catégoriquement que ces écout...