Les parties plaignantes ont décrié « cette pratique criminelle qui appauvrit et traumatise plusieurs familles » à Goma tout comme à l’intérieur de la province.
Lassées et démoralisées par « cette pratique criminelle des opérations entretenues délibérément par la maison AIRTEL », ces cinquante familles l’accusent de surcroît de collaborer directement avec les kidnappeurs dans les opérations des transactions financières entre les victimes et les auteurs présumés de ce...