« Comme vous le savez, dans l’Est du pays, il y a des tueries qui ne s’arrêtent pas. Actuellement, c’est à Beni qu’il y a des révoltes. On va de mal en pis », a déploré Clémentine Fatoumata.
Selon elle, la MONUSCO ne doit plus travailler comme elle l’a fait par le passé.
« L’objectif est qu’elle puisse changer sa manière de faire les choses en associant aussi la population locale, les acteurs de certaines sociétés. Et nous entant que ANU/RDC, nous avons pris l’initiative de réunir les organisations de la société civile pour pouvoir accompagner un peu ce processus de réforme et de la reformulation de la MONUSCO », a déclaré Madame Clémentine Fatoumata
Au cours de cette rencontre, ANU a également mis sur pied le Forum d’accompagnement des actions des Nations unies en RDC, une structure qui réunit des organisations de la société civile