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Le Burundi s’engage à améliorer son système alimentaire à travers la production de réformes appropriées

Le Burundi vers a création des systèmes alimentaires plus fins et sains dans une dynamique multisectorielle.

Parmi les réformes appropriées, on peut citer la création des systèmes alimentaires plus fins et sains dans une dynamique multisectorielle. Il y a aussi l’accélération du  parcours collectif visant le renforcement de la sécurité alimentaire. Cependant les parties prenantes signalent un problème majeur lié à la pression démographique.

A l’occasion du lancement officiel des concertations nationales sur les systèmes alimentaires, le gouvernement du Burundi promet la réforme dans ce secteur. Cette information  tombe au moment  où il se prépare  pour participer au sommet mondial sur le système alimentaire.

Le système alimentaire au niveau mondial est de 8000 milliards sur le budget financier. Soit 1/10  du budget mondial, précise la BM.

Au Burundi et ailleurs, le problème lié au système alimentaire est à la fois complexe et urgent à résoudre. En partant d’une alimentation insuffisante au malade induite par l’alimentation en passant par le gaspillage.  Et de plus d’un tiers de tous les aliments que nous produisons et les divers problèmes liés à la chaîne d’approvisionnement.

Objectif global du lancement officiel

L’objectif est de mobiliser toutes les parties prenantes des systèmes alimentaires burundais à contribuer de manière effective aux réflexions. Aussi sur des politiques et des interventions à haut impact pour élaborer des voies nationales vers des systèmes alimentaires sains. Ainsi que durables, nutritionnels et résilients, en passant par l’introduction des réformes appropriées pour aider le pays. En vue d’atteindre les objectifs nationaux et internationaux (ODD) à travers un système de suivi-évaluation efficace.

Avec cet objectif, il est clair qu’un enfant sans une bonne nutrition, alimentation est exposé à de grave problème. L’enfant ne grandit pas physiquement, il fréquente mal l’école et il devient moins productif à l’âge adulte.

A lire : Mineagrie: vers l’harmonisation des interventions dans le secteur semencier

Les grands défis sur les systèmes alimentaires

L’augmentation de la croissance démographique qui pèse sur les ressources humaines ;

La dégradation des ressources de la vulnérabilité ;

Le changement climatique ;

La concurrence accrue pour l’accès et espace et au ressource naturelle ;

La jeunesse face aux défis de l’acquisition de l’emploi en faisant allusion au 18-22 millions des burundais d’ici 2050.

Une bonne alimentation pour résoudre la problématique

Avec, l’augmentation démographique, il faut que le Burundi potentialise sa population pour devenir un facteur de développement en mangeant bien. Parce que lorsqu’on mange bien, on devient intelligent. Le cerveau va accroitre et se développer solidement. L’état de croissance physique s’accompagne généralement d’un état de développement intellectuel. L’exemple le plus proche est la chine  qui a réussi à utiliser sa population nombreuse pour la faire un potentielle financière, indique Dr Célestin Sibomana coordinateur national pour la préparation de la participation du Burundi au sommet mondial sur les systèmes alimentaires.

Sachant que le sommet mondial sur les systèmes alimentaires est prévu au mois de septembre.

A lire aussi : Burundi: promouvoir l’intégration, la durabilité et l’efficacité dans l’agriculture

Par Blandon Uwamahoro

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