Pas d’excuses, comme certains l’attendaient, mais des regrets… Au deuxième jour de sa visite, « le roi des Belges s’est adressé aux Congolais, au Palais du peuple. Devant les députés, il a donc réitéré, pointe le site Politico, ses 'regrets profonds' pour les blessures du passé infligées au Congolais par ses grands-parents pendant l’époque coloniale en RDC. »
Pour sa part, le président Tshisekedi a déclaré ne pas souhaiter s’appesantir sur le passé « qui n’est pas à reconsidérer », a-t-il dit.
Finalement, relève Cas-Info , autre site d’information congolais, le passé « à la fois glorieux et douloureux, a été mis en sourdine. »
Ne pas s’arcbouter sur le passé ?
Regarder vers l’avenir et ne pas s’attarder sur le passé : c’est la bonne voie, estime L’Observateur Paalga au Burkina Faso : « pourquoi faudrait-il qu’on exige toujours des excuses plates et des pardons, comme si on se complaisait à regarder éternellement dans le rétroviseur au lieu de se focaliser sur le f...