Elles sont étudiantes en médecine, infirmières, sages-femmes, médecins, agents de santé et sont victimes de harcèlement sexuel ou de viols sur leur lieu de travail. La plupart du temps, leurs agresseurs sont des collègues masculins. Au Togo, le Syndicat national des praticiens hospitaliers alerte sur un phénomène encore tabou. Les victimes veulent rester anonymes et n'osent pas porter plainte.