Après la tuerie qui a provoqué la mort de plus de 50 civils, mardi 1er février, à Djugu, en Ituri, les ONG de défense des droits humains de la province congolaise de l'Ituri jugent insuffisante la réponse des autorités.
Les autorités congolaises ont décrété trois jours de deuil en mémoire des victimes exécutées lors de l’attaque d’un site de déplacés dans la plaine Savo. Une réponse « ni suffisante, ni efficace », pour Dismas Kitenge, vice-président honoraire de la Fédération internationale des droits de l'homme (FIDH).