À neuf mois de la prochaine présidentielle prévue en août 2022, la FIDH et la Fédération kényane des droits de l’homme alertent sur le phénomène des violences sexuelles dans un rapport paru ce mardi. Selon les témoignages recueillis au cours de leur enquête, ces violences sexuelles ont été utilisées comme arme politique lors de l’élection de 2017, en particulier dans les bastions de l’opposition.
Avec notre correspondante à Nairobi, Florence Morice
Viols, souvent collectifs, mutilations génitales ou encore circoncisions masculines forcées… Voilà quelques-unes des violences sexuelles documentées lors de la présidentielle de 2017