Le Premier ministre malien a passé le cap des 100 premiers jours à la tête du gouvernement. S’il a eu le temps d’effectuer des visites de terrain et d’annoncer l’ouverture de grands chantiers, le chronogramme pour l’organisation des élections n’est toujours pas connu. Il a désormais contre lui une bonne partie de la classe politique malienne qui a décidé de boycotter les Assises nationales de la refondation qu’il projette d’organiser.
Avec notre correspondant à Bamako, Serge Daniel
Vent debout, plusieurs partis et associations politiques n’entendent pas participer aux Assises nationales de la refondation envisagée par Continuer la lecture de cet article sur RFI AFRIQUE