Alors que le président tunisien a décidé de prolonger ses pouvoirs exceptionnels « jusqu’à nouvel ordre », selon les termes de son communiqué de lundi soir, un débat s’installe en Tunisie. Maintenant que le Parlement est gelé pour une période indéterminée, quel sort réserver à la Constitution de 2014 ? Le pays doit-il se doter d’un nouveau texte fondamental ?
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