Des élections présidentielle et parlementaires doivent se tenir le 24 décembre en Libye, mais ce calendrier semble avoir du plomb dans l’aile. Unification des institutions au point mort, combattants étrangers toujours présents… Après la signature d’un cessez-le-feu en novembre, l’espoir suscité par l’installation en mars d’un gouvernement transitoire semble avoir fait long feu. Le chercheur Jalel Harchaoui, spécialiste de la Libye au sein du think tank Global Initiative, est l’invité de RFI.