Au Burkina Faso, vingt-quatre heures après leur prise de parole publique, les responsables d'un mouvement qui s'est baptisé « l’Union pour la Libération du Burkina Faso » ont été interpellés par les forces de l’ordre. En conférence de presse, ils avaient lancé un appel au recrutement d’environ 25 000 personnes pour former, disaient-ils, une « armée de libération ».
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