Le ministère congolais de l’Enseignement procède, depuis fin avril 2021, à l’enregistrement biométrique des enseignants en vue de connaître leur nombre exact, de constituer une base de données et de barrer la route aux fraudeurs. Les enseignants saluent l’initiative, mais sont quelque peu dégoûtés par la lenteur et les faiblesses techniques observées dans les centres d’enrôlement.
Avec notre correspondant à Brazzaville, Loïcia Martial
Nous sommes au centre d’enrôlement de la mairie de Moungali. Cet enseignant prestataire qui préfère garder l’anonymat a, au préalable, fourni un dossier avec plusieurs pièces : « On nous a demandés la...