Le Premier ministre soudanais Abdalla Hamdok a vigoureusement dénoncé la répression ayant fait deux morts, mardi 11 mai, au cours d'un rassemblement à Khartoum et exigé que justice soit rendue aux victimes. Des milliers de personnes s'étaient retrouvées dans la capitale pour commémorer le massacre du « sit-in » qui se tenait devant le QG de l'armée au cours de la révolution de 2019.