Finie l'autorisation administrative préalable exigée depuis 1964, une déclaration de création suffit désormais. Ce régime était jugé liberticide par les organisations de défense des droits de l’homme, car il servait selon elles de prétexte aux autorités pour réprimer les responsables d’associations non reconnues.
Avec notre correspondant à Nouakchott, Salem Mejbour Salem
La Mauritanie compte des centaines d’associations qui n’ont jamais eu d’agrément. C’est le cas de l’association Touche pas à ma nationalité. « Toutes nos manifestations ont été réprimées dans le sang, ra...