À l'époque, des foules d'opposants avaient manifesté contre une modification de la Constitution permettant à Faure Gnassingbé de se maintenir au pouvoir. Pour enrayer la protestation, les autorités avaient coupé l'accès à internet à deux reprises. En décembre 2018, sept ONG ont saisi la Cour de justice pour dénoncer la violation par les autorités de la liberté d’expression.
Septembre 2017, jour après jour, une foule se rassemble dans le centre-ville de Lomé et d'autres villes du Togo pour demander des réformes constitutionnelles, notamment la limitation des mandats présidentiels. C'est dans ce contexte que les autorités coupent à deux reprises l'acc...