Vêtues de blanc, signe de deuil, des femmes guinéennes ont marché pour dénoncer les exactions des forces de l’ordre. Elles ont aussi réclamé les libérations des militants du Front national pour la défense de la Constitution, incarcérés en amont des manifestations qui ont fait au moins neuf morts, en début de semaine dernière.
Elles étaient plusieurs centaines, tous âges confondus, avec à la main des pancartes où l’on pouvait lire : « Continuer la lecture de cet article sur RFI AFRIQUE