L’ex-président est notamment accusé d'avoir « autorisé un climat d'impunité permettant la corruption » et la « capture de l'État » par des intérêts privés. Toute la semaine, Jacob Zuma s’est farouchement défendu.
« Je ne sais pas, je ne me souviens pas ». Toute la semaine, Jacob Zuma a tenté d’éluder les questions de la commission anticorruption. Au premier jour, lors d’un monologue de trois ...