Ils avaient été arrêtés fin janvier lors de manifestations pacifiques à travers le pays. Des rassemblements destinés à revendiquer la victoire de leur leader, Maurice Kamto, à la présidentielle d'octobre 2018.
Ils ont passé près de six mois derrière les barreaux. Trente-neuf militants du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun, le principal parti d'opposition camerounais, ont...