Pour la première fois depuis l'incident meurtrier du week-end dernier, au cours duquel ont été tués notamment le chef d'état-major de l'armée et trois hauts dirigeants de l'État de l'Amhara, le gouvernement a tiré un premier bilan de son enquête. Si le général Asaminew Tsige est toujours désigné comme le cerveau de l'opération, les autorités fédérales disent avoir opéré un coup de filet et des saisies d'armes dans le milieu du nationalisme amhara et au sein des forces de sécurité régionales. Elles laissent aus...