En Guinée, les principales organisations de défense des droits de l’homme du pays se sont réunies lundi pour exprimer leur désaccord avec le projet de nouvelle Constitution qui risque, selon elles, de déstabiliser le pays et de provoquer de nouvelles violences. Si le président de la République n’a pas encore fait part de ses intentions, certains cadres laissent entendre que l’entrée dans une nouvelle République remettrait en quelque sorte « les compteurs à 0 », lui permettant de briguer un troisième mandat.
« C’est un projet illégal et dangereux », clament les organisations de dé...