Après Beni, Uvira, Tshikapa, lundi, c'est à Mbuji-Mayi que des policiers ont commencé à tirer en l'air pour réclamer pour certains le paiement de deux mois d'arriérés de salaire et pour d'autres le paiement de leurs frais de mission, quand ces ils ont été déployés pour sécuriser le processus électoral.
A Mbuji-Mayi, comme dans les autres villes où ces manifestations ont eu lieu, les tirs des policiers ont provoqué des mouvements de panique.
« Pour nous, c’est une surprise que la revendication se passe de cette manière-là pour un service où règne la discipline, explique C...