Pour elle, si les volets médical et psychosocial sont bien assurés dans ces structures médicales, le volet juridique reste encore faible. Car, dit-elle, c’est parce que les bourreaux ne sont pas sanctionnés par la justice.
De son côté, le Médecin chef de staff de l’hôpital Kyeshero, Dr. Fabrice Bishengi Ombeni, espère qu’une réponse urgente sera apportée à cette préoccupation des victimes.