D’après le chef de bureau de la MONUSCO au Sud-Kivu et au Maniema, Karna Soro, les assaillants avaient profité d’un petit brouillard de cette région montagneuse tôt à l’aube, pour lancer leur assaut sur le site des déplacés [près de 3 000 déplacés campent sur cette base].
Il pense que le pire a été év...