« Le poète Lutumba Simaro était un homme paradoxe, un orfèvre de l’art qui nous a légué des pépites d’or ». Ces propos sont du professeur André Yoka Lye Mudaba, directeur général de l’institut national des arts qui rend ainsi hommage à ce baobab de la musique congolaise qui est tombé ce samedi 30 mars à Paris.
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