Les conducteurs des engins roulants de la ville d’Uvira dénoncent la non-assistance de la société d’assurance (SONAS) dans leur ville. Cependant, ils sont affiliés à leur service d’assurance automobile.
Ces conducteurs des voitures s’ouvrent à notre reporter dans la ville ce weekend et présentent leurs doléances.
Un chauffeur sous l’anonymat témoigne : « je n’avais eu aucun rabat de la SONAS lorsque j’ai fait un accident de roulage. Je n’ai aucune confiance de la SONAS ».
Avec un grand regret, il rappelle l’histoire de son ami cogné par une voiture qui a failli mourir en route Baraka-Uvira. Sous une douleur frénétique, il était obligé de faire des tours Baraka-Uvira pour les déclarations à la SONAS.
A 90,1 Km, avec 2h 19 min de route ; de Baraka chez lui à Uvira à la SONAS.
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Quelle est la suite ?
A cet effet, plusieurs automobilistes interviewés sur le parking de Mulongwe, confirment leurs souscriptions à l’assurance. Mais selon eux « Pour éviter les tracasseries policières. »
Que demandent-ils ?
Dans leurs soucis, rien que l’amélioration de ses services. Ces conducteurs appellent leur assureur SONAS au changement. Un changement qui consiste à assister ses contribuables au moment opportun et de réduire les mécanismes administratifs trop compliqués.
Qu’en est-il pour l’assureur ?
La SONAS pour sa part rejette en bloc toutes ses accusations des conducteurs des engins. Le chef d’agence Uvira, Mugangu Living, indique que plusieurs propriétaires des engins déclarent tardivement les accidents. Et d’autres ne disposent même pas tous les documents administratifs exigés.
Par ailleurs, Mugangu Living ouvre une petite fenêtre avec les cas d’accidents que sa société ne prend pas en charge. Et c’est notamment des accidents volontaires et ceux causés par l’état de briefé des chauffeurs.
Par Joséphine Mungubi
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