Les crises répétitives qu’a connues le Burundi après l’indépendance prouvent réellement que l’Intolérance politique est une réalité. Therence Mbonabuca, directeur général de la formation patriotique au ministère de l’intérieur et de la formation patriotique, en qualité d’un expert l’a expliqué ce vendredi dans un atelier organisé par le Forum des Partis Politiques.
Soucié des méfaits qu’ont engendrés les guerres: la mort des milliers des personnes, des blessées, des exilés ainsi que les veuves et les orphelins. Sont les témoignages tangibles que le mal a pris le dessus sur le bien jusqu’à provoquer des drames innombrables. Et pourtant, selon lui, dans la tradition des burundais, la culture de la tolérance était une réalité vécue au quotidien.
Selon cet expert, à la veille des élections, les politiciens mal intentionnés aiment souvent utilisaient les éléments comme la rumeur, le tract, l’agora, les Nouvelles Technologies et de l’Information(NTI) et les médias classiques afin de manipuler la population pour leurs propres causes. Aussi, M. Mbonabuca a mis un accent particulier sur la jeunesse qui est la plus utilisée par les leadeurs politiques dans les actes d’intolérances.
Pour Félicien Nduhuburundi, le président du Forum des Partis Politiques agrées au Burundi, confirmant la réalité, a lancé un appel vibrant à tous les leadeurs en général et en particulier les dirigeants des partis politiques à évangéliser la paix une bonne cohabitation entre leurs partisans.
Le Burundi attend son grand rendez-vous électoral dans le mois de Mai de l’année 2020.
Par Freddy SENGI