La ministre de la santé Ummy Mwalimu, a reconnu l’existence de cas suspects dans son pays comme l’ont dénoncé certains pays et ONG.
C’est la première fois que la ministre Ummy Mwalimu, se prononce en public sur des cas suspects.
Le 14 septembre, elle avait même déclaré qu’il n’y avait pas de cas confirmé d’Ebola dans son pays.
Ummy Mwalimu, a déclaré qu’elle n’était aucunement obligée de le faire puisque les tests locaux étaient négatifs.
l’OMS avait indiqué que la réglementation internationale imposait à un État membre de déclarer les échantillons cliniques pour des tests secondaires lorsque les tests locaux donnent des résultats positifs.
La Tanzanie va vendre 10% de ses crocodiles
Une liste d’hommes mariés pour lutter contre l’infidélité
Selon la ministre il faudra qu’un total de 25 cas soient enregistrés pour que l’OMS soit informée, et la Tanzanie n’avait connu que deux cas suspects en septembre.
De plus en plus de pressions sont exercées par la communauté internationale sur les autorités tanzaniennes pour qu’elles partagent les échantillons en leur possession.
Plusieurs pays dont les États-Unis et le Royaume-Uni ont demandé à leurs ressortissants se rendant en Tanzanie d’être prudents suite à l’annonce des cas suspects en septembre dernier.