Visiblement bien armés et ayant une certaine maitrise du terrain, les trois braconniers d'origine nigériane se sont rendus coupables d'abattage d'espèces protégées dans une zone de réserve interdite à la chasse.
Leur équipement de braconnage était composé d'une dizaine de fusils de chasse, six vélos, des machettes et diverses substances chimiques utilisées pour neutraliser les animaux.
Les agents des Eaux et forêts du Niger ont saisi sur eux des carcasses d'animaux sauvages protégés ou intégralement protégés.