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SOCIETE

Les jeunes burundais, tiraillés entre passion et réalité

« Je serai médecin », « Moi non, je serai un militaire », « Non non, moi je serai pilote ». Voilà ce que nous aimions répondre à nos tantes  et oncles à la question de savoir ce que nous aimerions devenir dans le futur. Mais qu’est qui nous est tombé sur la tête depuis ?
Bien entendu ces réponses étaient influencées par nos modèles de l’époque qui étaient souvent nos parents et nos idoles de la télé. Mais plus on grandit, plus cette vision des choses change et on découvre des passions en nous qui jadis n’existaient pas ou étaient inhibées par notre jeunesse. On a envie d’explorer, d’essayer, de changer les choses, on se documente, on crée des liens avec les gens dans le ou les domaines qui nous intéressent, car une force étrange nous pousse dans ce sens. Pour les uns cette force est appelée passion. C’est une flamme dans le cœur, un rêve dans l’âme et un déclic dans le corps. Sa passion est presque de l’ordre du réel pour la personne éprise de quelque chose.
Les défis ne manquent pas
Pour certains, cette flamme ne survit pas à l’épreuve du temps. Pour d’autres, le chemin qui mène à l’accomplissement de leur passion est sinueux. Le marché du travail sera hostile à des profils non conformes à l’habituel. On nous dit en dernier lieu que la réalité de la vie nous fera changer d’avis, que nous le voulions ou pas. Ont-ils raison? Je dirais oui et non.  Continuer la lecture de cet article sur YAGA BURUNDI

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