L’opposition accuse le gouvernement, la Céna et la Cour constitutionnelle d'être responsables des dysfonctionnements dans le processus électoral.
Dans une déclaration portée par Candide Azannai, ancien ministre de la Défense de Patrice Talon, elle exige la relecture du code électoral "afin de corriger toutes les malfaçons normatives, les dénis démocratiques" qu'il comporte.
"L'atmosphère politique préélectorale actuelle est infectée par l'inexistence légale de la quasi-totalité des partis politiques. L'impossibilité aux partis politiques à prendre part aux prochaines élections législatives, la persécution fiscale des potentiels candidats, les flous qui obscurcissent le code électoral et qui exposent plusieurs des dispositions de son système comme un régime d'exclusion et d'injustice à conséquence imprévisible".
À cette conférence de presse étaient présents les ancien...