Entre janvier 2021 et janvier 2022, les combattants des ADF ont continué à commettre des attaques contre les populations civiles, malgré les efforts fournis par les autorités nationales avec le soutien de la Monusco et de l’armée ougandaise pour neutraliser le groupe armé. Au cours de cette période, le BCNUDH a enregistré une augmentation de près de 40% des atteintes aux droits de l’homme et violations du droit international humanitaire attribuables à des membres des ADF.
Avec notre correspondant à Kinshasa, Patient Ligodi
D’après le bureau conjoint des Nations unies pour les droits de l'homme (BCNUDH) en RDC, au moins 1 311 personnes ont été victimes d’exécution sommaire par des membres des ADF, particulièrement dans les territoires de Beni, au Nord-Kivu et Irumu et Mambasa en Ituri. D’après le BCNUDH,Continuer la lecture de cet article sur RFI AFRIQUE