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En 2022, «il est très peu probable qu’il y ait une désescalade de tension entre Alger et Rabat»

Pour la première fois depuis son arrivée au pouvoir il y a plus de deux ans, le président mauritanien Mohamed Ould Ghazouani a passé trois jours en Algérie et longuement rencontré son homologue Abdelmadjid Tebboune. Est-ce le signe d’un rapprochement au détriment du Maroc ? Ou le présage d’une médiation à venir de Nouakchott entre Alger et Rabat ? Raouf Farrah, chercheur en géopolitique et analyste principal à Global Initiative against Transnational Organized Crime, basée à Genève, est l’invité de RFI.

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