Les désormais ex-ministres et présidents des institutions ont été convoqués, au siège du Parlement guinéen, à une réunion ce lundi 6 septembre, et chaque refus de s’y présenter sera considéré comme une « rébellion », ont prévenus les putschistes, qui ont capturé dimanche le chef de l’État Alpha Condé et ont dissous les institutions.
Le coup d’État est salué par des scènes de liesse à Conakry, mais il est condamné par l’ONU, l’Union africaine et la France. Tous trois ont appelé à la libération immédiate du président guinéen. À écouter : l’analyse de Makanera Ibrahima Sory, juriste d’affaires et enseignant, directeur du site Leguepard.net.