La grève de trois jours suite à l’assassinat d’un procureur se transforme en grève illimitée soutenu par les deux principaux syndicats de la magistrature. Ils exigent des conditions de sécurité dans l’exercice de leurs fonctions parce qu’ils estiment vivre dans l’insécurité. Leurs revendications portent aussi sur des changements de certains responsables dans la haute administration tchadienne.
Avec notre correspondant à Ndjamena, Madjisra Nako