Financé par une taxe de 2% sur les salaires et des appuis internationaux, l’Agence centrafricaine de formation professionnelle et de l’emploi œuvre pour l’insertion des jeunes et des femmes en priorité, mais se retrouve débordée par l’ampleur de la tâche. Chefs d’entreprise et formateurs qui s’accordent sur un point : la solution passe par une réforme du système éducatif centrafricain.