Une semaine après le début de la campagne électorale pour la présidentielle du 11 avril prochain, sur 10 candidatures officielles adoubées par la Cour suprême, trois opposants qui ont annoncé leur retrait du processus électoral ne font pas campagne, un 4e opposant Brice Mbaïmon Guedmbaye a suspendu sa participation à la campagne en dénonçant un système qui favorise trop le candidat-président Idriss Deby. Reste donc en lice 6 candidats, mais dont un seul est « omniprésent ». La majorité, elle parle d'un procès d'intention.
Opposition et société civile sont unanimes, depuis le début de la campagne électorale, on ne voit que le parti MPS au pouvoir et son candidat, Idriss Déby.
Ce que confirme le politologue Evariste Ngarlem Toldé, une « omniprésence » qui s'explique, dit-il, parContinuer la lecture de cet article sur RFI AFRIQUE