En Libye, la classe politique est divisée sur les circonstances de ce qui est arrivé, dimanche 21 février, au ministre de l’Intérieur, Fathi Bachagha, l’homme fort de l’ouest libyen. Le ministre de l’Intérieur affirme que c’est une « tentative d’assassinat bien préparée et que ce n’est pas un hasard » alors que plusieurs responsables à Tripoli affirment que c’est les différends entre milices opposées qui mènent à ces troubles. La présumée tentative d’assassinat du ministre fait craindre une reprise des violences en plein effort de transition politique.
En Libye, il y a plus de 29 millions d’armes en circulation, et le pays est également miné par le poids des milices et des luttes d’influence. Ce genre d’incident arrive fréquemment. D’autres intimidation...