À Bangui, les taxis-motos, estimées à 38 000, sont interdits de circulation depuis la mi-janvier à cause, notamment, de questions sécuritaires. Si, depuis plusieurs semaines, la mesure restrictive avait été bien respectée, beaucoup de chauffeurs ont décidé d’enfourcher de nouveau leur moto malgré l’interdiction.
Avec notre correspondante à Bangui, Charlotte Cosset
« Les policiers sont là-bas c’est pour cela que je passais par ici ». Merveille, conducteur de taxis-motos a repris le travail malgré l’interdiction et évite donc les barrages de police.
« J’ai déjà repris les activités un peu comme ça. Ce n’est pas encore autori...