Les vendeurs des friperies, plus connues sous l’appellation de « Mutuki », sont en colère. La vente de ces vêtements de seconde main importés d’Europe et des États-Unis, est désormais interdite à Libreville. La mairie explique que les attroupements provoqués par ce commerce sont susceptibles d’entraîner des nouvelles contaminations.
Avec notre correspondant à Libreville, Yves-Laurent Goma