En Guinée, les autorités ont publié, mercredi 27 janvier au soir, un décret instaurant un « dialogue politique et social » entre acteurs institutionnels, politiques et sociaux. Un geste qui intervient dans un climat politique crispé en raison notamment de l’interpellation de près de 400 personnes au lendemain de l’élection présidentielle tendue d’octobre 2020.
Il s’agit d’une « plateforme » d’échange qui devrait organiser des « plénières thématiques », chargées ensuite, de rendre un rapport. Cette plateforme est présidée par le Premier ministre. Le secrétariat permanent de cette plateforme comprend notamment deux ...