Coup de théâtre en Côte d’Ivoire. Pour la première fois depuis novembre 2010, c’est à dire depuis dix ans tout juste, le FPI pro-Gbagbo accepte de participer à des élections nationales, en l’occurrence aux législatives, qui sont prévues dans les trois prochains mois. Pourquoi cette volte-face de la part du parti de Laurent Gbagbo ? Quelle conséquence pour Laurent Gbagbo lui-même, qui vit toujours en exil ? Assoa Adou, secrétaire général du Front populaire ivoirien – tendance pro-Gbagbo, en ligne d’Abidjan, il répond aux questions de RFI.
Nous demoandons un accord avec l’opposition et que commission soit réformée.