Mardi, les autorités ont levé le blocus, en place depuis septembre, autour de la résidence de l’opposant, sans plus d’explications qu’au moment où ce blocus a été instauré. Le gouvernement a aussi précisé dans un communiqué que la situation de l’opposant et de son parti continueront à faire l’objet d’un « examen attentif ».
Nous espérons que le gouvernement expliquera si désormais le président Kamto est libre de ses mouvements.
Me Simh, avocat et troisième vice-président du MRC