À Madagascar, pour la première fois de l’histoire du secteur minier malgache, les représentants des grandes mines et des exploitations artisanales, régulièrement opposés, se sont assis autour de la même table. L’objectif : discuter de la sortie de crise crise induite par le coronavirus, mais aussi s’opposer à la réforme du code minier, dont la nouvelle fiscalité pourrait plomber le secteur déjà morose.Publicité