Alors que les partis poursuivent leur processus de désignation de leurs candidats à la présidentielle d’octobre prochain, le cas de la Commission électorale indépendante (CEI) pose toujours problème. Le 15 juillet dernier, la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples pointait du doigt le déséquilibre de la CEI en faveur du parti au pouvoir. Le contentieux autour de l’institution d’organisation des scrutins reste l’éternelle pierre d’achoppement entre l’exécutif et l’opposition.