Le réseau social a annoncé avoir fermé plusieurs centaines de pages et groupes présents sur son réseau social, accusés d’avoir été utilisés à des fins de propagande politique pour influencer des élections dans différents pays d’Afrique en publiant des infox. Toutes étaient administrées par une société de marketing digital baptisée URéputation appartenant à l’homme d’affaires franco-tunisien Lofti Bel Hadj, et ce en violation de la charte de Facebook sur les interférences étrangères.
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