Le tribunal de Kinshasa doit rendre, ce mercredi 15 avril, sa décision sur la demande de libération provisoire de Vital Kamerhe. Le directeur de cabinet du président est soupçonné de détournement des fonds. Une affaire qui crée des remous au sein de sa formation, l’Union pour la nation congolaise (UNC). À tel point que Vital Kamerhe les a appelés à ne plus prendre la parole sans son aval.
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