En Centrafrique, le gouvernement s’attaque à la mortalité maternelle et infantile. Des assises se sont tenues cette semaine pour étudier la question. Les chiffres sont effrayants : 1/3 de la mortalité maternelle est causée par des interruptions volontaires de grossesses non médicalisées (882 décès de femmes pour 100 000 naissances).
En Centrafrique, les IVG non médicalisées sont la première cause de mortalité maternelle. L’avortement est illégal et est punissable de plusieurs années d’emprisonnement. Seul l’avortement thérapeutique dans certaines conditions est légal.Chaque jour, ce sont six femmes qui meurent de...