Ce 16 décembre, pour la reprise du procès de Teodorin Obiang dans l'affaire dite des « biens mal acquis », le parquet a requis de la prison ferme contre le vice-président de Guinée équatoriale, poursuivi pour blanchiment d’abus de biens sociaux, d’abus de confiance, de détournement de fonds publics et de corruption.
Ce 16 décembre, à Paris, le ministère public a requis quatre ans de prison ferme, 30 millions d’euros d’amende et la confiscation des biens saisis, assorti d’un mandat d’arrêt, contre Teodorin Obiang. Ces réquisitions sont bien plus lourdes queContinuer la lecture de cet article sur RFI AFRIQUE