Après les milices Bana Mura, ce sont des militaires qui sont accusés de détournements de mineurs. Le Bureau conjoint de l’ONU pour les droits de l’homme a officiellement saisi le gouvernement depuis plus d’un mois. Une enquête a été ouverte par la justice militaire, mais la société civile s’inquiète de voir les victimes et les preuves disparaître les unes après les autres.
Quand le 2105e régiment est arrivé à Tshikapa, les défenseurs des droits de l’homme ont noté la présence parmi les « femmes » de militaires des filles manifestement mi...